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10, 000 Chroniques de Disques, Lives & autres.

Jeudi 20 août 2009 à 11:29

http://10000visions.cowblog.fr/images/PinkFloyd/WishYouWereHere300.jpg Pink Floyd - Wish You Were Here (1975)
Par Brieuc
Cet album aurait pu être le premier que j'aurais chroniqué des Pink Floyd, mais je n'avais pas remarqué sa splendeur lorsque je l'avais écouté en vynil sur des petites enceintes à 20 € à la période où j'écoutais tous les 33 T de mon père, directement sortis de la cave. Je les écoutais d'une traite sans me soucier de quels morceaux j'apprécie et quels morceaux je n'apprécie point. Non en effet j'avais pas commencé notre blog, mais si c'était le cas j'aurais pris des notes. J'avais donc laissé "Wish You Were Here" au côté de l'excellent Dark Side Of The Moon que lui même j'ai re-découvert il n y a pas si longtemps de cela.

J'avais une fixation sur Meddle en particulier avec le morceau "Echoes" et surtout The Wall que j'ai encore plus écouté que les autres, même si je suis passé à d'autres albums non très connus des Floyd que je savoure en ce moment-même. Wish You Were Here est le meilleur pour certains, pour moi c'était Meddle, jusqu'au moment où j'ai réecouté en intégralité ce monument.

Il se caractérise surtout par son morceau "Shine On You Crazy Diamond (parts I-V)" et "Shine On You Crazy Diamond (parts VI-IX)" un morceau plus que légendaire, en deux parties, au début et à la fin de l'album. Il a une de ces montées progressives inoubliables, étirées sur des kilomètres grâce aux clavier de Richard Wright et aux notes aïgues de guitare électriques de David Gilmour. Une montée que l'on veut éternelle, jusqu'au fameux refrain, où le titre du morceau est chanté par Roger Waters, qui a une voix plutôt appréciable mais mauvaise comparée à celle de notre David Gilmour adoré. Et puis il y a surtout du saxophone. Donc voilà si on réunit les deux parties (quoi que la 1ere est la meilleure :) ça donne 26 minutes de pur Rock Progressif, de pur bohneur... (encore plus long que Echoes et Atom Heart Mother suite)

L'album a été apparemment enregistré en hommage au co-fondateur des Pink Floyd, Syd Barrett, qui se fit jarter après un album (The Piper at The Gates Of Dawn) à cause de ses prises de stupéfiants et de son comportement instable dû à sa schizophrénie. Apparement, les Floyd l'ont regretté, quand il est parti faire des albums solos dignes du psychédélisme qu'il a investi dans les Pink Floyd aux débuts du groupe. D'où le nom de l'album, qu'on peut traduire par "On Voudrait que tu sois là" et donc Syd Barrett a rendu une visite aux membres du groupe en Juillet 1976?

Il n 'y  a point que les deux parties de "Shine On You Crazy Diamond" dans cet excellent Floyd. Mais surtout "Have A Cigar" énorme morceau, avec des synthés de Wright et une basse de Waters inoubliables. Elle cette foi ci chantée, ni part Gilmour, ni part Waters mais par un inconnu, nommé Roy Harper. Le morceau fut écrit par Roger Waters, qui dénonce les industries de la musique.
Ma dernière préférée de l'album, est encore un morceau avec un thème écrit par Roger Waters, il s'agit de "Wish You Were Here" qui possède une ligne de guitare acoustique répétitive mais excellente, dans la lignée de l'intro de "Stairway To Heaven" des Zeppelin ou encore "I'd Love To Change The World" des Ten Years After. Enorme morceau dont on ne se lasse jamais.

L'ovni de cet album pour moi est "Welcome To the Machine" que beaucoup de personnes n'aiment pas, mais moi je l'adore. Il est doté d'une jolie introduction, et même si les effets ont mal vieillis et qu'ils donnent un ton ridicule au deuxième morceau de ce recueil progressif, ce morceau est inquiétant et magnifique.

Enfin voilà, j'hésite encore à nommer le meilleur Pink Floyd Meddle ou Wish You Were Here? Le choix est dur, donc nous allons dire que les deux sont des monuments, ce sera très bien aussi.



 

Playlist "Wish You Were Here"
 

Pink Floyd - Shine On You Crazy Diamond (Parts I-V) [13:31]

Pink Floyd - Have a Cigar [5:08]

Pink Floyd - Wish You Were Here [5:40]



Jeudi 20 août 2009 à 10:50


http://10000visions.cowblog.fr/images/Pochettes/InAGaddaDaVida.jpg
Iron Butterfly - In-A-Gadda-Da-Vida (1968)
 
Par Brieuc
J'avais commencé à découvrir cet album, par un vinyle (j'ai dû vous répéter ce nom maintes fois) prété par Amaury. Il était quasiment inaudible, je lui ai rendu l'album, mais il m'avait dit juste avant "Cet Album est énorme tu peux demander à Guilaume", alors j'ai posé la question à Guillaume et ce patapon m'a répondu "ouais il paraît qu'il est énorme". J'étais donc sur ma faim, je n'avais toujours pas écouté cet album du nom et du groupe dont je n'arrivais pas à me souvenir (ça m'arrive parfois hélas). Et puis, à la médiathèque (où je vous écris en ce moment cet article) du petit coin où je me trouve en ce moment, en plein Nord de la France, vu qu'ils ont pas mal de bons choix (je dois vous dire que j'ai trouvé un King Crimson, ce qui était inesperé), j'ai trouvé cet album que j'ai loué immédiatemment.

  Je l'ai donc écouté plusieurs fois. In-A-Gadda-Da-Vida (oui le nom est très rigolo), est un "Magnifique" recueil de 6 chansons Psychédéliques toutes aussi bonnes les unes que les autres. Ce qui fait l'album, c'est vraiment le clavier, extraordinaire avec des solos à couper le souffle, qui rend le groupe "Iron Butterfly" dans la lignée de groupes tels que "Grateful Dead" ou encore "The Doors". L'album commence avec "Most Anything You Want", la seule chanson que j'avais écouté, bonne chanson mais ce n'est vraiment pas la meilleure, la meilleure de cette face c'est "My Mirage" une je ne me suis écouté je sais pas combien de fois en boucle, une chanson que j'adore. On remarque que l'album se découpe en deux parties, c'est à dire les trois premieres chansons, "Most Anything You Want" "Flowers And Beads" et "My Mirage", sont moins rock que les trois dernieres, "Termination" "Are You Happy"

Et surtout la longue chanson de 17 min (et deux secondes, enfin bon on va pas chipoter) qui occupe toute une face du 33 tours "In-A-Gadda-Da-Vida". Enormissime morceau, plus que culte, avec une voix et un claviers carrêments extraordinaires (qui feront apparitions dans un clin d'oeil d'un épisode des Simpson) Il figure dans le premier non-officiel de la saga Hannibal Le Sixième Sens réalisé par Michael Mann. Ces morceaux insistent plus sur les solos et les riffs de guitare (même si l'emsemble de ces riffs est plutôt simple je dois dire).

  J'ai réussi à le trouver par la suite en pressage réedition américaine, parfaite. Enfin voilà on a donc là un album de rock Psychédélique qui mérite d'être écouté plus d'une fois par son égalité dans les 6 morceaux.


 

Playlist "In-a-Gadda-Da-Vida"

Iron Butterfly - Most Anything You Want [3:43]

Iron Butterfly - My Mirage [4:53]

Iron Butterfly - In-A-Gadda-Da-Vida [17:02]


Mardi 18 août 2009 à 15:44

http://10000visions.cowblog.fr/images/Pochettes/GangstersOfLove.jpg
The Gangsters Of Love - The Gangsters Of Love (1973)
Par Brieuc
Rassurez vous, je n'ai pas découvert cet album assez inconnu, tout seul. Non c'est Mr Aura County qui me l'a conseillé, il avait un exemplaire du vinyl en double et pouvait me le vendre. Mais l'album tellement rare et dur à trouver, il fut à un pris assez élevé. J'ai donc été obligé de ne pas l'acheter, mais je l'ai récupéré dans ses documents, afin de pouvoir l'apprécier.

  La musique Funky, je l'aime bien, mais pas tous genres de funky. Mais celui-là est typique celui que j'aime, avec congas, cuivres, basse et guitare qui foisonnent en donnant des morceaux emdiablés. Ce qui fait l'album et le style des Gangsters of Love, c'est tout de même le chanteur Louis Hollingsworth, qui a une voix exceptionnelle donnant puissance aux morceaux. Tel le premier "Never Is Too Soon" qui fait démarrer l'album de façon géniale. Plusieurs morceaux ne m'ont pas laissés indiférrents. A l'exemple de la meilleure chanson de l'album "I'm Gonna Keep On" que j'adore comme un grand fou. Ce morceau a des airs qui paraissent connus (en particulier le refrain), malgré la non connaissance majeure qui trône dans la culture musicale de certains. Cet album contient aussi d'excellents morceaux comme "Mrs America (Stoogey Clown)" ou encore la reprise de l'endiablée "Symphaty for the devil" des Rolling Stones. Mais je dois dire que l'originale... est plus originale! (mouahaha). Nan sérieusement elle n'égale pas l'originale, car il manque les Whohoho, dérrière.L'album arrive a tenir le fil musical avec pleins de bons morceaux tels le super "Bad Habits" ou encore "Join The Party" deux morceaux qui dégagent une sacrée énergie ma foi! "Sorry" et "You Love, My Love" sont également excellentes, mais je dois avouer que ce ne sont pas celles que j'ai beaucoup écoutées.
 
Encore une fois merci à Amaury qui me fait découvrir tout ces trucs. "The Gangsters Of Love" m'ont fait plonger dans leur funky de façon radicale. A écouter absolument!



Playlist "Gangsters Of Love"

The Gangsters of Love - I'm Gonna Keep On [4:58]

The Gangsters of Love - Mrs. America (Stoogey Clown) [4:35]

The Gangsters of Love - Sympathy for the Devil [3:29]


Vendredi 7 août 2009 à 20:31

http://10000visions.cowblog.fr/images/Pochettes/TripThruHell.jpg
C. A. Quintet - Trip Thru Hell (1968)
Par Brieuc
Me voilà de retour, pour continuer notre blog après deux semaines sans articles et je peux vous dire que ça fait du bien de retourner à son clavier. J'aimerais parler de là d'un album peu connu de rock Psychedélique d'un groupe assez original portant le nom de "C. A. Quintet". J'ai réussi à découvrir ce groupe par Amaury ("
Mr Aura County"), notre ami, n'hésitez pas à aller visiter son blog.

  Guillaume m'avait fait écouté "I Shot The King", bonne chanson, ou les C. A. Quintet ont portés plainte contre le groupe Kiss pour avoir plagié la chanson avec "I Was Made For Lovin You Baby", si je ne me trompe pas évidemment. Puis je me suis décidé à écouter l'album en entier et je n'ai pas été déçu! "Trip Thru Hell", la chanson du titre de l'album se compose en deux parties, la 1ere partie est tout simplement extra, en particulier de la 50e sec à 1 min 40, un passge que j'adore me taper et me retaper en boucle, s'en suit un solo de batterie assez long qui s'incruste dans la chanson, la 2eme partie est plus déçevante mais bon. Plusieurs bons morceaux font tenir le bon rythme de l'album comme "Colorado Mourning" (énorme morceau excellent), "Smooth as Silk", "Dr of Philosophy", "Sadie Lavone" et surtout l'excellente "I put a Spell On You" chanson de Screamin Jay Hawkins, aussi extraordinaire que l'originale apparente dans "Stranger Than Paradise" de Jim Jarmusch (et oui je sais ça fait la 3e référence dans ce blog à Jim Jarmusch). Il y'en a certaines que je cite pas, mais l'ensemble de l'album est vraiment chouette.

 
L'album est difficile à se le procurer, mais si un jour un ami fan de musique psychedélique, l'a sur son ordi et vous demande si vous le voulez, dites oui sans hésitation, rien que pour écouter les cuivres du groupe qui se placent fabuleusement bien dans la musique psychédelique Pour ce qui est de mon cas, j'ai eu le bohneur de le retrouver en réedition de cette année par "Sundazed". Etant donné que l'original et à peu près à 1000€, je préfére la réedition ma foi :).



Playlist "Trip Thru Hell"

C.A. Quintet - Trip Thru Hell (Part One) [9:11]

C.A. Quintet - Colorado Mourning [2:31]

C. A. Quintet - I Shot the King [2:25]

 

Dimanche 12 juillet 2009 à 16:36

http://10000visions.cowblog.fr/images/PinkFloyd/Meddle.jpgPink Floyd - Meddle (1971)
Par Brieuc
Meddle est considéré selon moi, comme le chef-d’œuvre des Pink Floyd. Après un album ambitieux sorti en 1970 (Atom Heart Mother), le groupe délaisse l’orchestre de Ron Geesin pour s’attaquer à un album très personnel du groupe, commencé chez EMI en Janvier 1971, pour sortir le 5 novembre dans la même année avec cette pochette de Storm Thorgerson représentant en gatefold une oreille de vache aux tons bleus, marrons et verts formée sous une rivière coulant doucement, demandée par le groupe via un arrêt à Hong-Kong en s’inspirant de photos de jardins asiatiques de la pur tradition zen. A l’intérieur figure un magnifique portrait Noir et Blanc du groupe
 
Je ne pourrais pas parler de cet album, sans citer Echoes, ce morceau de 23 minutes qui m’a presque fait découvrir le groupe, qui est désormais ma piste préférée de ce dernier mais aussi qui a donné le nom du groupe dans lequel j’officie avec Guillaume. Le point de départ du morceau était un son, une note jouée au clavier et sortant modulée par une vieille enceinte acoustique à effet Leslie (utilisé pour les orgues Hammond, et qui, doté d’une partie rotative, donnait un son particulier). Le son qui accouchait de l’orgue était unique, et les différentes interprétations qui en suivirent contenaient un son un tantinet quelque peu différent. La note de Rick Wright, évoquait un sonar de sous-marin pour le groupe. Selon ce dernier, la musique a toujours été l’espace entre les notes, chose qu’il démontre dans cette intro, et qu’il reprendra pour l’album suivant lorsqu’il participera en majeure partie à Us and Them sur Dark Side. Le son de guitare de David au milieu du morceau, lui, était le fruit des leçons de Ron Geesin qui n’utilise ses instruments jamais conformément aux instructions. Il avait inversé par inadvertance le branchement de sa pédale Wah-Wah. Ce qui est assez magnifique dans ce morceau, c’est que David Gilmour chante avec en back-voice, l’inattendue voix de Rick, magnifique à mon goût.

Après l’extraordinaire solo de David, s’en suit entre le passage dès le passage de la 6e à la 7e partie, une partie complètement différente où la basse de Waters et l’orgue de Wright ressort encore sur un thème répétitif à l’énergie lancinante, jusqu’à qu’elle termine en fondu du son et laissant court à d’interminables expérimentations spaciales aux dissonances sombres et inquiétantes pendant 4 longues minutes. Jusqu’à que revienne l’apaisante note de Rick et les cordes montent en puissance pour finir avec le thème du début presque encore plus élaboré avec ses moments forts et reposants. In fact, le morceau est une sorte de voyage, le plus intéressant de tous les voyages que les Pink Floyd ont crée. Je n’ai pas assez de mots dans mon vocabulaire pour décrire à quel point j’adore ce morceau, plus que tout. Il est le symbole du Rock Progressif car les transitions réalisées sur les différentes parties et elles-mêmes sont les plus recherchées qui soit.
 
Après de longues improvisations, d’expérimentations et moults tâtements, le groupe finalise Echoes dans une énorme version. Mais avec les restrictions de la maison de disque, le morceau ne fera que 23 minutes et 31 secondes plus précisément, et occupera la seconde face.
 Ce n’était pourtant pas tellement le but du groupe, car après ce premier morceau composé pour démarrer l’album, ils ont dû ensuite combler le vide de la 1ere face. Et pourquoi ne pas mettre le morceau qui intéresserait le plus les radios pour ouvrir l’album ? (comme ils avaient fait pour leur album précédent sur la chanson titre de 24 minutes…). Ils ont réussi le défi.
 
Le premier morceau de cet album est donc One of These Days, meilleure performance live depuis le départ de Syd Barett, construit autour d’un son de basse que Roger avait crée en branchant son instrument sur une chambre d’écho Binson (qui avait caractérisé la période Barrett). En utilisant lui aussi un tambour roatatif en acier entouré de têtes de lectures et avec différentes têtes, on obtenait une gamme d’effets répétitifs selons les signaux envoyés. La basse était jouée à l’unisson avec David Gilmour. Cette dernière ayant besoin de nouvelles cordes, un technicien fut envoyé pour en acheter des nouvelles mais il s’absenta trois heures (d’après Nick Mason, il était accusé d’avoir rendu visite à sa petite amie qui tenait une boutique de vêtements et s’est trahi en revenant avec un pantalon neuf). A cause de cette attente, le morceau fut enregistré avec les vieilles cordes pour rendre une expérience réussie. La basse a été enregistrée à double vitesse avec une voix de fausset puis la bande a été repassée à vitesse lente. Le morceau contient aussi l’une des rares performances vocales de Nick, déclamant d’une voix modifiée One of these Days I’m Gonna cut You into little pieces !
 
Le reste des chansons de l’album se rapportent la plupart du temps à la vie du groupe. Comme Fearless, où Roger accompagne à son tour David à la guitare électrique. Le morceau appartenait à l’univers des supporters de Liverpool, le titre est l’équivalent du mot Génial utilisé dans le monde du Football. D’ailleurs le morceau termine avec l’hymne de l’équipe de football You’ll never walk alone again. Celle qui suit la 1ere piste, A Pillow of Wind(un oreiller de vent) est le nom d’une des combinaisons d’un jeu chinois appelé le Mah-Jong auquel jouaient régulièrement Roger, Nick et leurs femmes respectives Judy et Lundy lors de leur colocation à San Tropez.
 
David s’occupait d’un chien appelé Seamus, qui appartenait à Steve Mariott (du groupe Small Faces), et cet animal à quatres pattes avait l’agréable éducation d’aboyer lorsqu’il entendait de la musique. Ainsi naquit le morceau Seamus, une sorte de blues à guitares construit autour des hurlments du chien. Pour le réinterpréter dans les vestiges de Pompéï, ils ont dû prendre avec eux un autre clébard appelé Mademoiselle Nobs. Enfin il y a cette ballade sympathique non très Floydienne écrite par Roger : San Tropez, clin d’œil aux vacances qu’ont passées le groupe dans le Sud de la France le dernier Eté et à la maison qu’ils ont loué sur la côte d’Azur.
 
Meddle est la premier album enregistré en studio en tant que groupe si l’on prend les précédents albums, leurs solos et leurs écarts. Mais aussi le plus planant du groupe, le plus abouti et les membres du Floyd sont encore très fiers non seulement d’avoir lié les attentes du public à leurs ambitions musicales mais aussi d’avoir signé cette magistrale œuvre, qui résistera sûrement à l’épreuve du temps, aujourd'hui en étant déjà l'exemple.

http://10000visions.cowblog.fr/images/PinkFloyd/Meddle.jpg
http://10000visions.cowblog.fr/images/PinkFloyd/pinkfloydmeddleinsidegatefold.jpg
FACE A
1. One of These Days (David Gilmour, Nick Mason, Roger Waters, Richard Wright) – 5:57

2. A Pillow of Winds (David Gilmour, Roger Waters) – 5:13
3. Fearless (David Gilmour, Roger Waters) – 6:08
4. San Tropez (Roger Waters) – 3:43
5.Seamus (David Gilmour, Nick Mason, Roger Waters, Richard Wright) – 2:15
FACE B
6. Echoes (David Gilmour, Nick Mason, Roger Waters, Richard Wright) – 23:28
 
1971, 33t anglais : Harvest SHVL 795
1971, 33t français : Harvest SHVL 795
1971, 33t américain : Harvest SMAS 832
1983, CD américain : Capitol CDP 7 46034 2
1984, 33t américain (MFSL UltraDisk) : MFSL 1-190
1989, CD américain (MFSL UltraDisk) : MFSL UDCD 518
1992, CD américain (remasterisé) : Capitol CDP 0777 7 46034 2 3
1993, CD américain (MFSL Ultradisk II) : MFSL UDCD 518


One Of These Days

Fearless

Echoes



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